

Après la commune de Fianarantsoa, remise entre les mains de Pety Rakotonirina, un des bandits libérés par la HAT, c'est au tour de la ville de Toamasina, à l'Est qui voit ses responsables limogés.
Plusieurs leaders des manifestants légalistes font l’objet d’un mandat d’arrêt pour « troubles à l’ordre public ».
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